Critiques

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Caceres-Sobrea n'énonce rien

pour nous laisser

                              à notre gré

il tend ses toiles vers le silence

          pas un mutisme           ni une aphasie

mais une retenue

     le silence d'une parole

                                    qui se garde de dire.

 

Philippe MADEC (architecte, enseignant en architecture, écrivain)



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L'œuvre de Carlos Caceres-Sobrea s'inscrit dans la mouvance et dans la rigueur de l'abstraction géométrique, mais elle y apporte une contribution très personnelle.  Une sorte de dimension émotionnelle émerge de ses compositions... exempte de références comme de notations anecdotiques, cette peinture n'en est pas moins une œuvre devant laquelle on a envie de s'accorder un moment de contemplation et de sérénité.

Marc GAILLARD, Historien d'Art et d'Architecture

 

Les peintures actuelles de Caceres-Sobrea sont devenues les "ÎCONES" de notre époque, à la recherche d'une nouvelle forme de spiritualité.  Dans leur plastique très contemporaine, rigoureuse et sensible, rayonne une mystérieuse aura, source d'apaisement et de vraie richesse.

Henri MALVAUX, ancien directeur de l'Ecole des Beaux-arts de Bourges de l'Ecole Camando, peintre et conférencier

 

Avec une économie de moyens remarquable mais aussi une maîtrise de la couleur, Caceres-Sobrea nous entraîne très loin, au delà de tous les portiques, vers des abysses dont on risque de ne jamais revenir tout à fait indemnes.

Pierre KALFON, ancien diplomate, écrivain

 

... il ouvre des "espaces ambigus" charpentés sur de multiples dessins préparatoires, et développe les dégradés les plus subtils.  Il règne, sur cette série d'œuvres produites ces deux dernières années, une sérénité, un calme absolu, si proche du pudique et discret Caceres.

Philippe CARTERON - Le Nouvel Observateur, critique d'Art

 

... ses œuvres exigent la calme contemplation, et cette sorte de réceptivité qu'inspire l'immensité du paysage américain.  Sa dernière exposition, au musée des Arts Décoratifs à Paris (salle d'actualité), laissera l'empreinte de l'Ecole du Rio de la Plata (Argentine-Uruguay) par son importante contribution à l'art international. 

François LEPOT - El Clarin - Buenos Aires, critique d'Art, correspondant du journal "Clarin", Argentine

 

L'heure de la consécration arrive enfin pour cet argentin qui s'est dépensé si longtemps dans l'enseignement.  

Patiemment mûries, ses toiles aux dégradés raffinés engendrent derrière leurs strictes franges un spectaculaire espace savamment démultiplié. 

Gaston DIEHL - Art News, critique et historien d'Art

 

Caceres et moi, nous partageons l'origine sud-américaine, le goût de l'amitié et l'attitude moderne.  Caceres peint de l'espace abstrait par des franges linéaires tenues entre elles par des règles simples.  Ces figures ainsi composées lui permettent d'établir une dilatation de la couleur, dégradé subtil qui devient l'architecture lumineuse de la peinture.  Belle émotion. 

Henri E. Ciriani, architecte, enseignant en architecture

 

Sa rigueur exigeante, radicale, laisse, sans rien abdiquer, la part à la ferveur ; c'est sa réussite et son bonheur.  Apollinien, il est aussi dionysiaque. 

Jean-Pierre Delarge, critique d'Art

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